Et si nous parlions des topinambours…

C’est bon, c’est fin, c’est délicieux, mais… Petit résumé de ce qu’on trouve sur le sujet :

Premier truc infaillible : manger le topinambour cru. Il ne génèrera aucun vent. Et il est excellent râpé en salade, assaisonné avec de l’huile de noix et du vinaigre de cidre.

Pas de gaz avec des pommes de terre dans l’eau de cuisson

Si on préfère le manger cuit, il existe des moyens plus ou moins efficaces pour neutraliser les maux de ventre. Un des plus sûrs consiste à cuire ces racines tarabiscotées avec quelques pommes de terre. Le topinambour est riche en inuline, un glucide proche de l’amidon. Or, certaines personnes ont du mal à l’absorber par défaut d’enzymes permettant de l’assimiler. La pomme de terre qui dispose, elle, de cette enzyme qui manque aux topinambours est donc la bienvenue dans l’eau de cuisson.

Et pour les adeptes de la cuisson à la vapeur qui préserve davantage goût et texture, pas vraiment de solution.

On recommande aussi de le blanchir 5 min avant de le préparer et/ou de rajouter du bicarbonate de sodium dans l’eau de cuisson.

Une chose est néanmoins sûre, il ne faut JAMAIS réchauffer le topinambour car il devient encore plus indigeste et éolien.

Cuit, il est très bon en salade avec de l’échalote et du persil, ou chaud avec le jus de cuisson d’une volaille au four.