Cette année j’ai donc testé les patates douces. On consomme le tubercule mais les feuilles se mangent aussi. C’est une plante de la famille des convolvulacées comme le liseron et du genre Ipomea comme les ipomées, jolies plantes ornementales. D’ailleurs la « planche » de patates douces était très esthétique rien que ça me pousse à recommencer.
A la mi-juin, j’ai planté un peu plus de deux plants par adhérent (environ 130). J’ai acheté les plants tout faits. 100% des plants ont pris. Je les ai entretenus (désherbage) jusqu’à la mi-aout puis les plantes ont recouvert totalement le sol (tige de plus de 4 mètres). De la mi-août jusqu’au début octobre, j’ai essayé de contenir la végétation pour qu’elle ne recouvre pas ses voisins. La floraison a eu lieu en septembre. J’ai commencé à les ramasser vers début octobre. J’ai pu vous en ramener trois fois.
Les patates douces n’ont jamais été malades. Il y a les campagnols qui les ont trouvées à leur gout. Je pense qu’ils en ont mangé un quart. Je compte en refaire l’année prochaine mais à partir de mes propres plants. J’essaie au moins quatre techniques de multiplication. Dont une qui m’a été inspirée par mon fils qui a réussi à faire reprendre des bouts de racines dans son jardin sous la serre. A croire que la relève est déjà assurée.