Archives par auteur: lms

Tout s’arrange

Voilà que tout s’arrange, les tomates relèvent la tête, ça y est elles sont parties. Côté pluviométrie, il est tombé 17 mm puis 14 mm samedi matin, ça change la physionomie du jardin. Ça pousse et les adventices aussi. Les oignons sont bien, cette année je les chouchoute et j’essaye un nouvel itinéraire technique. A voir.

J’ai plus d’infos sur la famille hérisson de la serre. Ils sont quatre dans la fratrie. Ils sont plus gros que mon poing. Je les vois téter leur mère qui est allongée de tout son long. j’adore !

Il y a du karashina dans vos paniers. On reste dans le piquant. C’est une moutarde japonaise qui peut se manger crue avec la salade ou des makis, ou bien en potée avec pommes de terre et saucisses par exemple.

Poulet sauté aux fèves (pour 4 personnes)

4 escalopes de poulet (ça marche aussi avec autre chose) – 400 g de fèves – deux petits oignons nouveaux – une gousse d’ail – 3 càs de bouillon de volaille – un peu d’huile d’olive -2 càs de graines de sésame – sel, poivre – jus d’un citron – persil.

Couper les escalopes en lanières. Faire cuire les fèves 2 minutes à l’eau bouillante et retirer la peau. Faire revenir les oignons, l’ail, les lanières de poulet dans l’huile d’olive puis ajouter les fèves et le bouillon de volaille. Faire cuire 5 minutes puis faire griller les graines de sésame dans une poêle. Ajouter les graines de sésame au plat, le jus de citron, le persil et servir sans attendre.

recette de Michelle

GAEC de l’Etang

Le GAEC de l’étang situé à La Puye (86) est une entreprise familiale productrice de viande bio dont les gérants éleveurs : François et Nicolas Fortin salarient leurs épouses Fabienne  et Florence, elles-mêmes chargées des ventes.

La ferme est en agriculture biologique depuis 2009, produit l’alimentation animale sur place avec complément en circuit court autant que possible.

Les porcs sont issus de trois races standards, adaptées aux circuits conventionnels.

La ferme n’a pas de laboratoire, la production est travaillée par un charcutier-traiteur, ce qui contraint les livraisons au vendredi et au samedi.

Le GAEC vient aujourd’hui répondre à une demande de viande porcine de qualité.

Commandes par la référente AMAP

Courriel : marine.gelibert@gmail.com

Ci-joint la liste des produits et les tarifs :

Auxiliaires de cultures

Les semaines de maraîcher sont assez chargées au mois de mai. Semis, plantation, désherbage et récoltes…ça se passe plutôt bien, d’autant plus que la pluie de la semaine dernière (17 mm) permet de planter sereinement et a fait lever endives et betteraves. Les pommes de terre qui sont distribuées ont été plantées sous serre à la mi-février. A l’heure actuelle c’est la vraie jungle, les fanes sont énormes et on ne voit plus le sol. Lors de la récolte de cette semaine, je suis tombé sur un tas de paille étrange et en y regardant de plus près il y avait une mère hérisson installée ici ! J’ai du coup très vite changé de rang et repris ma récolte plus loin pour ne pas la déranger, les hérissons sont de bons auxiliaires de cultures car ils se nourrissent de limaces, escargots… qui pullulent en ce moment. Un vrai panard de découvrir ces petits habitants dans ma serre.

Fèves au lard et au thym (pour 6 personnes)

800 gr de fèves écossées / 1 petite botte d’oignons nouveaux / 2 gousses d’ail / 300 gr de lardons / 1 verre de vin blanc / 1 brin de thym frais / Huile d’olive / Sel / Poivre noir

Ecosser les fèves, les faire cuire 2 minutes à l’eau bouillante et retirer la peau. Dans une sauteuse, faire revenir sans les colorer les oignons et les lardons. Ajouter les fèves, l’ail haché, le vin blanc, le thym, saler et poivrer et laisser cuire à couvert et à feu doux pendant 30 minutes.

Tempête, gel et plantation

Le jardin et les serres se remplissent. J’ai planté les tomates sous serre vers le 15 avril comme d’habitude. J’ai d’abord rebâché la serre qui a été endommagée par la tempête. Ensuite j’ai posé des gouttes à gouttes puis j’ai mis une couche de paille (bio). Après, j’ai planté plus de 500 pieds de tomates. Et encore après il a fait froid et ils ont gelé. Alors je les ai remplacés. Le reste (concombres, courgettes, poivrons, aubergines…) n’a rien eu. Les tomates ont gelé à cause de la paille. Elle coupe la chaleur du sol et fait un effet réverbérant de la lune. Le mal est réparé mais jeudi matin une cinquantaine de pieds ont regelé. Décidément !

Depuis deux semaines je suis bien aidé par Johan et Guillaume qui sont en stage. On a planté les pommes de terre mercredi en méthode traditionnelle, et en plantation sous paille jeudi.

Crêpes aux oignons verts

2 tasses de farine – 3/4 de tasse d’eau chaude – 4 à 6 branches d’oignons verts (on ne prendra que le vert, garder le reste pour une autre recette) – ¼ de tasse d’huile de sésame – sel – huile pour la poêle

Dans un saladier, mélanger l’eau chaude et la farine pendant 5 à 10 min pour avoir une pâte élastique. Badigeonner d’huile de sésame et laisser reposer dans le saladier recouvert d’un linge pendant 30 min. Séparer la pâte en deux. Etaler une moitié sur une surface enfarinée pour obtenir 3mm d’épaisseur. Badigeonner avec un peu d’huile de sésame et étendre la moitié des oignons verts, rajouter un peu de sel. Rouler la pâte en un long boudin que l’on roule de nouveau sur lui-même. Aplatir et recommencer l’opération 3 ou 4 fois en mettant un peu d’huile à chaque fois. La crêpe finale doit avoir 3 mm d’épaisseur. Recommencer avec le reste de la pâte.

Chauffer la poêle avec un peu d’huile et faire cuire les crêpes environ 2 min de chaque côté. Servir chaud

Ferme Fruitière Pommes et Sabots

Maël Tignon et Marion Escalle

15 le Chilleau

79340 Vasles

Maël Tignon et Marion Escalle ont repris l’exploitation de la fruitière bio de la commune de Vasles.

625 arbres fruitiers ont été plantés sous l’impulsion de la commune par des habitants jeunes et moins jeunes fin 2014, début 2015.

Ces arbres sont répartis sur 2 ha, plantés tous les 4 m, et menés en plein vent comme les vergers d’antan. Ils se composent de 400 pommiers, 200 poiriers, 14 cerisiers et 14 pruniers. Il s’agit d’un verger diversifié dans le nombre de ses variétés.

Des poulaillers mobiles accueillent des poules pondeuses. Ces parcs sont déplacés toutes les trois semaines, ce qui permet l’entretien de la parcelle : « Elles effectuent le désherbage, luttent contre les insectes ravageurs et mangent de l’herbe. »

Grâce à un prêt participatif, l’arrivée de la jument Ukita a permis de proposer des tours en calèche au départ de Mouton Village, « Aujourd’hui, elle est complètement dressée pour le verger : pour refaire les paillages, épandre le compost. »

Quelque 24 arbres ont dû être changés en 2018, comme les cerisiers pas adaptés au terrain et remplacés par des pruniers, ainsi que la moitié des fraisiers. 

Commandes :